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Réfer. : 0922 .
Auteur : I. C. H.
Titre : Le Vrai et Vieux Chemin de Nature.
S/titre : de Hermès-Trismegiste.

Editeur : Editions de la Hutte. Bonneuil en Valois.
Date éd. : 2006 .
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**** A T T E N T I O N ****

Ce document étant sujet à droits d'auteur, n'est composé que du début, et des tables éven-
tuelles. Reportez-vous aux références ci-dessus
pour vous le procurer.

**** A T T E N T I O N ****




L E V R A I E T V I E U X
C H E M I N D E N A T U R E

D E
H E R M E S-T R I S M E G I S T E
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Déjà au catalogue des Editions de La Hutte...
Collection Alchimie :
La Moelle de l'alchymie Eyrénée Philalèthe

A paraître en 2006 aux Editions de La Hutte...
Collection Alchimie : La Nature au découvert avec les Accouchées de la Pierre des philosophes par « le Chevalier Inconnu »
Collection Franc-maçonnerie : Tous les rituels de la Grande Loge d'Ecosse traduits et publiés avec l'aimable autorisation de La Grande Loge d'Ecosse des Anciens Maçons Francs & Acceptés
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L E V R A I E T V I E U X
C H E M I N D E N A T U R E

D E
H E R M E S-T R I S M E G I S T E
« Mis au jour par un Vrai Franc-Maçon I. C. H. Traduit de l'Allemand par D. V. x xx »



Editions de La Hutte BP 8 60123 Bonneuil-en-Valois
www.editionsdelahutte.com
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(C) 2006 Editions de La Hutte & Bernard Renaud de la Faverie 313, rue de Crépy 60123 Bonneuil-en-Valois ISBN : 2-916123-02-4 E-mail : contact@editionsdelahutte.com

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LE VRAI ET VIEUX CHEMIN DE NATURE DE HERMES-TRISMEGISTE
ou Méthode pour préparer la Teinture Universelle et purifier les Animaux et Minéraux
Mis au jour par un Vrai Franc-Maçon I. C. H
Traduit de l'Allemand par D. V. x xx
Ex Lahore Millin
à Leipsig Chez Adam Frédéric Bohme ou L'Arbre 1782

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Reproduction de la page de titre du manuscrit.

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Reproduction de la page 4 du manuscrit.

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Reproduction de la page 36 du manuscrit.

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Reproduction de la page 54 du manuscrit.

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AVANT-PROPOS
La source

On ne peut malheureusement pas dire grand-chose de précis sur l'origine de ce texte, soit que les informations nous manquent, soit que le retranscripteur
souhaitait protéger son anonymat et celui de ses descendants.

Le texte originel est réputé allemand. Rien n'est moins sûr. Les indications dont nous disposons, ainsi que les tournures propres à la langue de l'époque
du texte, tendent plutôt à indiquer qu'il a été écrit directement en français
par son pseudo-traducteur, l'énigmatique D. V. xxx, qui formerait une seule
et même personne avec I.C.H. Le procédé est courant dans la littérature
alchimique où l'on se plaît à jouer à « cache-cache », à brouiller au mieux les
pistes dans le but très compréhensible, sous l'Ancien Régime, de se protéger
des foudres religieuses ou des suspicions policières. Qu'on se souvienne
ainsi du bien opaque Eyrénée Philalèthe (voir la préface à La Moelle de l'alchymie,
à notre catalogue), qui narre ses rapports épisodiques avec son maître,
le tout rapporté par Starkey sous couvert d'anonymat. Les commentaires
anonymes + Starkey préfacier + Philalèthe forment ensemble Le Philalèthe.
Probablement cet ensemble + le « maître » de Philalèthe... sont Philalèthe.
Le cas présent nous semble relever de ce schéma.

La date de 1782 est fortement plausible : pour autant que la recopie soit fidèle, la langue utilisée le corrobore parfaitement. Le seing du pseudo-
I.C.H. comprend la mention un Vrai Franc-Maçon, ce qui ne saurait surprendre
en soi. L'alchimie, comme mouvement spirituel, avait presque
disparu, ou plutôt s'était profondément transformée. La totalité des alchimistes,
ou prétendus tels, s'étaient réfugiés derrière le tablier de la franc-
maçonnerie, finalement regardé avec autant de bienveillance par les Lumières
que par les monarques en cette fin de siècle. Ainsi se souviendra-
t-on d'exemples célèbres : Dom Pernety, Théodore de Tschoudy, Cagliostro
ou même le comte de Saint-Germain. Que ceux-ci et d'autres fussent de
vrais alchimistes, de purs spéculateurs ou des escrocs clinquants, il n'en
demeure pas moins que le « mouvement » alchimique et le « mouvement »
Rose-croix -- s'il en fut un -- se confondirent et s'abîmèrent dans la franc-
maçonnerie spéculative. La mouvance alchimique connut ensuite une obscure
nuit de plus d'un siècle, puis continua discrètement sa transmission,

13
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LE VRAI ET VIEUX CHEMIN DE NATURE DE HERMES-TRISMEGISTE
généralement loin des loges où l'on parle trop d'alchimie pour en avoir la
moindre idée pratique ou même sérieuse.

Le présent texte, lui, fait exception dans une littérature alchimique souvent contestable, celle de la seconde moitié du XVIIIe siècle. Il s'agit là d'un vrai
texte de laboratoire, d'un vrai guide éclaircissant de nombreux aspects de
l'Art et, à sa lecture, le seing maçonnique devient purement anecdotique et
finit par s'oublier, ce qui rassurera les puristes.

La recopie est due à un alchimiste contemporain, mort en 1992 sans avoir abouti l'oeuvre. Il ne nous est pas permis de donner son nom même s'il fut
connu en son temps, autant comme praticien audacieux que comme collectionneur
et copiste sérieux. Il a collaboré activement à la revue La Tourbe des
Philosophes. Nous devons nous en tenir là.


La transcription

Le texte, tel que nous l'avons composé, est très fidèle au manuscrit ; seuls les accents aigus, graves ou circonflexes ont été rétablis ou unifiés pour plus
de confort typographique, ainsi que quelques traits d'union de mots composés
ou de tournures qui l'exigeraient de nos jours.
Aucune autre ponctuation n'est rajoutée, aucun autre élément n'est modifié, ni virgule ni point-virgule, afin de ne pas risquer imprudemment d'orienter
l'interprétation.
L'instabilité et les curiosités de la casse ont été respectées, ainsi que les fautes d'orthographe, les fautes d'accords, les mots répétés, etc., ce qui garde
au texte son pittoresque, et sans pouvoir dire si toutes sont dues au pseudo-
auteur-traducteur ou si une partie peut être rapportée au copiste contemporain.


Je vous souhaite une agréable et fructueuse lecture.

Jean Solis Janvier 2006
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LE VRAI ET VIEUX CHEMIN DE NATURE DE HERMES-TRISMEGISTE
Solution
1er La solution est une absolue nécessité, car sans elle nul corps dur ou fixe ne saurait obtenir d'amélioration, or la dissolution n'est à proprement parler
qu'une altération des Corps ou la réduction en Première Matière. Toutefois
qu'un corps attire l'humidité, et que par ce moyen il est converti en une véritable
Eau, on peut dire qu'il est retourné à son premier Être, car il n'était
conservé dans cet état que par les Liens du Sel dans lequel il était garrotté
comme dans les filets de la mort ; c'est ainsi qu'excité par la chaleur externe,
il reprend son feu et son activité et se revivifie. De ce premier Degré de
Régénération il passe au Second qui est la Fermentation.

Fermentation
2° Lorsqu'un Corps se précipite par la Dissolution, il commence bientôt à fermenter ; c'est le principe du changement des corps solides en fluides ; car
cette humidité les conduit à une nouvelle Nature. Elle prend alors sa propriété
d'une vapeur aréteuse sans laquelle aucun changement ne pourrait
s'opérer. Tous corps contiennent cet acide et il n'y a que l'Esprit Astral qui a
le pouvoir de les en délivrer, car c'est lui seul qui opère le dégagement de cet
acide et rappelle ainsi les corps à la vie. Philalète dans son livre intitulé :
Museum Secretum Philosophorum parle ainsi de cet Esprit Astral : Est
mumia vitalia calidum nativum, humidum radicale, Mercurius Vitae. (1)

C'est un Etre Spirituel que le Vulgaire nomme Ciel lorsqu'il le voit sous une couleur bleue. L'air recèle la Lumière et est la Nature de Notre Nitre
Magnétique : C'est ce Sel Balsamique, Séparateur et altérant qui produit la
fermentation ; la vie ou la Lumière est dans son centre où elle se considère
comme dans son propre miroir. Ce Principe Lumineux, Magnétique et Aérien,
cette haleine de Vie, est le Centre du Goût et des Odeurs ; du Ministre du Ciel
ou Feu de Nature ; et de la Quintessence de nos Eléments Philosophiques qui
rend le Spirituel vivant, l'occulte manifeste, et l'invisible visible.


1. Souligné comprenant le titre de Philalèthe dans le présent texte.

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LE VRAI ET VIEUX CHEMIN DE NATURE DE HERMES-TRISMEGISTE
Le Dieu tout Puissant l'envoie à la Terre afin de faire germer toutes choses. Il l'a renfermé dans tous les corps, afin de les rappeler à la Vie, et les
Paysans n'ignorent pas que sans cette fermentation, ils ne pourraient se procurer
ni pain ni bière.
La Fermentation est donc du ressort de l'Eau dont tous les Corps prennent la Forme pour arriver à une nouvelle vie, toutes choses tirent leur Origine de
l'Eau, et c'est la Fermentation qui opère le Développement de leur Sperme
par une force Supérieure au Feu Vulgaire, car par ce feu, on réduit la Pierre
en chaux et le bois en cendres, et par le feu fermentatif les Eléments sont
changés en une terre visqueuse et en une Eau propre dans laquelle ils se
trouvent encadrés. De cette façon ; tout solide est rendu fluide ; l'acide est
le Principal agent de la Fermentation lorsqu'elle veut changer un corps
quelconque d'une nature dans une autre, il échauffe et procure le mouvement
sans lequel aucune putréfaction ne saurait avoir lieu. Ceux qui battent
le beurre nous en fournissent la preuve, car ils ont beaucoup plus de peines à
faire prendre leur Crème en hiver que pendant l'Eté.
Sendivogius nomme cette Fermentation agent mâle et femelle, et Bazile Valentin, un corps qui contient en lui le froid et le chaud, et lorsqu'il parle de
la régénération des Métaux il dit réduit le métal en froid et en chaud ; mais
non par le feu vulgaire ; car il ne saurait apporter aucun changement aux
corps, ne possédant ni acide ni Eaux fermentatives, dont il tire pourtant son
Origine. Le Feu Vulgaire chasse ou brûle cet Acide et le rend invisible ; le
corps seul demeure sous forme de chaux ou cendres ; mais par notre fermentation
le fixe retient le volatil, et la Régénération se fait naturellement. Le
Feu Vulgaire ne saurait donc servir de séparateur puisqu'il est au contraire
un Perturbateur des Semences, ou pour mieux dire, la mort de toutes choses
puisqu'il dévore le germe fermentatif des corps et les prive du bien fait de la
régénération.
Du moment qu'un Corps se trouve en fermentation, il est dans sa Chaleur et froideur naturelle, car les deux feux qu'il renferme en son centre, à savoir
le Sel et le Soufre sont dans une continuelle dispute comme contraire à la
Nature l'un de l'autre ; ils se gonflent et s'élèvent jusqu'à ce que l'un ait surmonté
l'autre, et alors ils se réunissent, les Esprits se rapprochent et se précipitent
et ainsi fini la fermentation. Dans cet Etat le Corps se trouve réduit en

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LE VRAI ET VIEUX CHEMIN DE NATURE DE HERMES-TRISMEGISTE
acide spirituel ou première Matière Spermatique prête à subir l'épreuve de
la Putréfaction.
Il n'est pas nécessaire que la Putréfaction s'opère dans tous les Corps uniformément, elle n'est qu'en raison de leur fixité ; c'est pourquoi elle arrive
tantôt plus vite, tantôt plus tard. Il ne faut point s'étonner si elle marche si
lentement dans le règne Minéral, c'est pourquoi il faut s'armer d'une grande
Patience.

Putréfaction
3' La marque positive de la Putréfaction est lorsque le Corps devient noir et luisant comme de la Poix, alors la véritable mort est arrivée et dans ce
corps noir est enfermée une force séminale dans sa plus grande exubérance.
Pour cette mort le progrès homogène contenant en soi l'humide Radical des Corps est déjà fait. Il faut surtout avoir une connaissance exacte du feu
externe, pour ne point brûler la matière et ne point empêcher son accroissement
; c'est ce que les Philosophes appellent leurs fleurs. Ne vous disent-ils
pas tous cuisez jusqu'à noirceur. Cette Noirceur est aussi la rouille des Philosophes,
voilà pourquoi ils recommandent de mettre le Corps en rouille pour
nous faire comprendre que pour régénérer un Corps, il faut commencer par
le dissoudre radicalement et lui faire subir une fermentation putride. Quand
il est dans cet état il ressemble plutôt à du fumier qu'à autre chose.

Coagulation
4° La coagulation suit la Putréfaction et comme nous avons commencé notre oeuvre par trois degrés internes d'humidité nous devons maintenant le
conduire par la Sécheresse jusqu'à la perfection. Il faut dans les degrés antérieurs
que l'Esprit Radical soit entretenu par une humidité Surabondante ;
les degrés suivants au contraire doivent consister dans un épaississement
progressif.
C'est par la Sécheresse qu'on parvient à rapprocher les parties du Corps et qu'on les amène à une forme solide ; mais il faut garder un intermédiaire
pour ne pas interrompre sa croissance, et dans cet Etat on ne peut pas dire

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**** A T T E N T I O N ****

Fin du texte de ce document, ce document étant sujet à droits d'auteur.
**** A T T E N T I O N ****


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Index de noms
ARISTOTE : 23.
ARTEPHIUS : 36.
BISCHOTT : 26.
ELUCIDARIUS MAJOR : 23.
FLAMEL, Nicolas : 41, 44, 46, 49.
LABINDAGINE : 19.
MORIEN : 24, 44.
PARACELSE : 48.
PETIT PAYSAN, PETIT PAYSANT (le) : 38, 39, 51.
PHILALETHE, PHILALETE, Eyrénée : 30, 36, 39, 44, 49, 52, 59, 62, 63.
RIPLEE, RIPLES, Georges : 46, 48, 50, 52, 59.
SENDIVOGIUS, SINDIVOGIUS : 26, 29, 31, 36, 40, 41, 44, 46, 50, 57, 58,
59, 61, 63, 66.
SIDONIUS, Alexandre : 24.
SPERBER, Justius : 21.
THENZEL, André : 17.
THEOPHRASTE : 24, 39.
TREVISAN, Bernard : 25.
VALENTIN, Basile, Bazile ou Bazille : 22, 23, 24, 31, 33, 37, 38, 43, 50, 63.
VILLENEUVE, Arnaud (de) : 22.

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Table des matières

AVANT-PROPOS de Jean Solis	13
PREFACE	17
INTRODUCTION	19
DE LA VRAIE ALCHIMIE DES ANCIENS OU LE VIEUX CHEMIN DE LA
NATURE D'HERMES-TRISMEGISTE	29
De la Voie Sèche	40
Seconde Voie ou Préparation des Teintures par la Voie
humide	56
POSTE-FACE	71
INDEX DE NOMS	75

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Achevé d'imprimer par Corlet Numérique - 14110 Condé-sur-Noireau N° d'Imprimeur : 29441 - Dépôt légal : février 2006 - Imprimé en France
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I.C.H. -- « Un Vrai Franc-Maçon » Le Vrai et Vieux Chemin de Nature de Hermès-Trismegiste

« La possession de cette Pierre est une singulière faveur de la bonté divine, car elle est le Très Noble Trésor de la Santé aussi bien
que des richesses de ce Monde après lequel tant de Milliers ont
soupiré, mais que très peu ont eu le bonheur de Posséder. Ce procédé
n'est autre qu'une imitation de la Nature et N.B. un travail
long et difficile ; c'est pourquoi je ne conseille pas de l'entreprendre,
si on n'a pas les facultés nécessaires ; et si on n'a les moyens
d'aide. »
« Il faut demander à Dieu son assistance et celle de son St- Esprit ; et lire ensuite les livres des vrais Philosophes qui sont les
amis de Dieu et des hommes. Je vous recommande surtout la lecture
de L'a.b.c. Hermetique en les Parties dont l'Illustre Auteur a
puisé les Principes de quelques septantes Philosophes tant
Anciens que Modernes ; il en indique le choix dans des annotations
: Dieu qui connaît le coeur des hommes vous éclairera, si votre
intention n'est pas d'employer au détriment de l'âme ou du corps
de votre prochain. »


ISBN : 2-916123-02-4
Prix : 26 €
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